Laurent Gbagbo plus démocrate qu’Alassane Ouattara. Parmi les actes qui le prouvent, et que nous pouvons citer, il y’a le principe du régime Gbagbo de ne nommer aux postes clés de la république que des hommes compétents même s’ils sont militants avérés de l’opposition. Les exemples qui soutiennent cette affirmation sont légions: Niamien Konan, militant PDCI a tenu longtemps les douanes ivoiriennes, Charles Diby Koffi s’est retrouvé à la direction du trésor publique avant de piloter le ministère des finances. Il leur a été permis de travailler aux côtés de Laurent Gbagbo, de s’enrichir puis ensuite d’aller rejoindre en période électorale leurs partis politiques d’origine sans être inquiétés; Maintenant avec Alassane Ouattara, les nominations sont exclusivement partisanes.
Le second acte démocratique qui place Gbagbo premier devant Alassane Ouattara, est le traitement de faveur réservé aux leaders et aux partis de l’opposition : Loi de Financements des partis, prise en charge par l’Etat des leaders de l’opposition ayant dirigé des institutions de la république (salaire, voiture, logement ), Sécurité des leaders de l’opposition garantie par une garde rapprochée attribuée par l’Etat; Au tour d’Alassane Ouattara, les leaders de l’opposition sont jetés en prison, leurs militants traqués, persécutés et au pire des cas tués en ces périodes d’incertitudes et d’anarchies.
Le troisième point fort de Laurent Gbagbo en tant que meilleur démocrate est le fait qu’il ait garantit la liberté et la pluralité de la presse et qu’il ait institué la dépénalisation des délits de presse. Sous la gouvernance de Gbagbo aucun journaliste ivoirien n’a été molesté, frappé ou jeté en prison; Avec sa prise du pouvoir par la force, Alassane Ouattara a mis sous veille et fait disparaitre toute la presse d’opposition. Aujourd’hui, dans la presse en Côte d’Ivoire l’opposition n’existe plus à cause des risques sur la vie.
Source : telediaspora