Hommage à nos confrères de la presse “bleue”: Ces héros de la résistance intellectuelle contre l’asservissement colonial

Dans ce beau combat contre l’asservissement, les ivoiriens n’ont pas le droit de se faire des complexes. Pendant dix ans, ils ont résisté tant spirituellement que culturellement contre l’oppression et la recolonisation. Ils étaient à deux doigts de gagner la paix. Malheureusement d’autres frères et sœurs ont décidé eux d’inviter l’envahisseur, le diable à la maison.

Le diable ne connaît aucune pitié. Elle sait qu’une seule chose: la destruction. En effet, ne pouvant pas faire plier les dignes fils et filles de notre pays, le diable et ses alliés ivoiriens sont passés par des voies tortueuses et macabres les unes que les autres, notamment celles d’imposer tout genre d’embargo, entre autre, l’embargo sur les produits pharmaceutiques. On n’était à se demander ce que leur avaient fait toutes ces personnes déjà souffrantes dans leur chair parce que victime de maladie très compliquées. Certains de ces malades moururent sans s’en émeuvent un seul instant. Mais les ivoiriens étaient déterminés à résister. Ils et elles préférèrent l’honneur à l’asservissement et à la soumission.

L’ennemi sentant la détermination des ivoiriens a décidé de passer à une autre phase de son plan macabre, celui de la guerre meurtrière et destructive. Sur le terrain de la guerre, l’ennemi a trouvé sur son chemin, une armée jeune mais déterminée. Conduite par des jeunes stratèges dont Konan Raphël, Abehi Jean Noël, etc. et avec à sa tête le stratège Dogbo Blé, la jeune armée de Côte d’Ivoire a fait mordre la poussière au triumvirat guerrier Rebelles-Licorne-ONUCI sans utiliser sa force aérienne. Elle a seulement cédé puis effectué un repli stratégique lorsque le triumvirat, ayant constaté son échec au combat corps à corps, a décidé d’utiliser des armes non conventionnelles larguées sur les populations. A ce propos, on sait aujourd’hui que les populations d’Abobo ont commencé par contracter des maladies bizarres qui auraient quelque chose à avoir avec les armes utilisées dans cette commune.

Depuis le 11 avril donc, les héros militaires de la résistance, se sont effacés pour faire place aux journalistes de la presse de l’opposition. Ces derniers sont traqués à longueur de journée. Leurs bureaux ont été saccagés ou sont occupés par les rebelles de Ouattara. En sommes, on a tout mis en œuvre pour les empêcher de parler et dénoncer la dictature et son corollaire de violation de droit de l’homme.

Mais que non. Les journalistes de la presse “bleue” refusent de se taire. Ils utilisent la moindre occasion qui leur est donnée pour produire des papiers extraordinaires plein de révélations. Quel honneur. Quel courage. Malgré les persécutions, la clandestinité ils font l’effort de rétablir la vérité sur l’imposture de Sarkozy et son valet Ouattara. Mais il font surtout l’effort de dénoncer les abus et exactions dont sont victimes bon nombre de nos concitoyens. Ce faisant, ils permettre aux “sans voix” d’être entendus et évitent que leurs souffrances ne soit pas oubliée.

Merci chers collègues. Merci Allan aliali, César Etou, Fousseni Koné, Odette Latté , Suzanne Assalé, Grékou Bayard et autres, pour votre abnégation. Vous aviez le choix de faire comme tout le monde, c’est à dire déposer les armes (vos plumes) pour aller faire allégeance au prince Borgia d’éburnie. Mais vous avez choisit la résistance avec nous. Vous êtes nos héros.

C’est pourquoi nous vous dédions ces lignes et invitons tous, Ivoiriens, Ivoiriennes, Africains, Africaines à lires les articles de nos journalistes de: Le Temps, le Quotidien, Notre Voie …qui prennent de gros risques en rétablissant les vérités dans cette page de l’ histoire de la Côte d’Ivoire. Nous avons le devoir de les encourager. C’est pourquoi infodabidjan.net exhorte tous les visiteurs à faites suivre ces articles après lecture afin que la tradition de liberté d’expression instaurée par le Président Laurent Gbagbo soit pérennisé car un pays sans le vrais Journalisme est un pays sans âme.

Chers ”Titrologues” du net, rendez-vous utiles en faisant suivre , en informant vos camarades.

Nous n’avons pas d argent à partager. Nous avons cependant notre dignité a préserver. Pour elle nous ne devons pas faire de compromis par rapport à notre lutte. Ne cédons pas une seule parcelle dans la guerre de communication. Nos hésitations d’hier nous a fait perdre (momentanément) le pouvoir de décider de notre avenir.

Source: infodabidjan.net

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